Qui va garder les enfants ?

mardi 8 février
durée : 1h15


Richard Volante

    Théâtre – récit
    Compagnie La Volige (Nouvelle-Aquitaine)
    Texte : Nicolas Bonneau & Fanny Chériaux
    Mise en scène : Gaëlle Héraut
    avec : Nicolas Bonneau
    Création musicale : Fannytastic
    Scénographie : Gaëlle Bouilly, assistée de Cellule B
    Costumes : Cécile Pelletier
    Création lumière : Rodrigue Bernard
    Création son : Gildas Gaboriau
    Régie : Cynthia Lhopitallier
    Stagiaire à la mise en scène : Chloé Jauset

Seul en scène , Nicolas Bonneau, l'œil pétillant et le verbe malicieux, s'interroge sur sa position de mâle dominant et sur la place faite aux femmes dans notre société. Ce faisant il évoque le sexisme, les codes bourgeois, le poids de l'éducation, sa famille, la lutte des classes et le quotidien de femmes politiques de tous bords et de toutes fonctions qu'il a suivies dans une enquête de deux ans. La réflexion et la narration intime s'entrelacent avec les portraits savoureux finement ciselés de ces battantes en butte aux préjugés bien ancrés des hommes de pouvoir… et des autres.
Dans un décor aéré (deux chaises, une table et un escalier tournant quelque peu branlant, symbole des obstacles qu'elles doivent franchir), Nicolas Bonneau joue avec brio tous les personnages, croqués à traits vifs et pertinents, et nous entraîne dans une « caustique et réjouissante virée ». Loin de tout discours pontifiant, la verve et l'humour de ce spectacle font mouche d'autant plus que c'est un homme qui interprète avec une justesse confondante toutes ces femmes remarquables.
 

Une série de portraits drôles et piquants. Un spectacle réjouissant, dans lequel le comédien épingle son propre sexisme.
La Croix
Nicolas Bonneau possède une présence certaine. Son talent, la délicatesse de son intelligence et de sa personne servent un propos qui met en lumière les femmes
Le Figaro
Venez rencontrer Simone Veil, Olympe de Gouges, Christiane Taubira, Yvette Roudy etc. Nous avons passé un excellent moment avec ces femmes qui n’ont rien à envier aux hommes.
Médiapart


vu à l'Atrium :

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