LE SIGNAL DU PROMENEUR |
samedi 05 avril 2014 à PONTONX à 21 h durée : 1h 35 |
crédit photo : Cici Olsson
Conception et mise en scène : Raoul Collectif
Avec Romain David, Jerôme de Falloise, David Murgia, Benoît Piret, Jean-Baptiste Szézot
Assistanat à la mise en scène : Edith Bertholet
Regard extérieur : Sarah Testa
Régie générale : Philippe Orivel
Costumes : Natacha Belova
Son : Julien Courroye
Lumière : Emmanuel Savini
Production : Raoul Collectif
Coproduction : Théâtre National - Belgique, Maison de la culture de Tournai
Avec l'aide du Ministère de la Communauté française, service du Théâtre
Avec le soutien de Zoo théâtre asbl, le Groupov, Théâtre & Publics et l'Ancre - Charleroi dans le cadre de Nouvelles Vagues
«Soyons frères parce que nous sommes perdus.». Voilà le point de départ de ce spectacle, ovni miraculeux, foutraque et inattendu, qui a déferlé depuis la Belgique en emportant tout : critiques, spectateurs et prix, sur son passage.
Qu'est-ce qui pousse un individu à rompre avec son milieu ou la société tout entière ? C'est la question abordée par les cinq jeunes acteurs du Raoul Collectif. A travers la mise en scène, l'écriture et le jeu, ils conçoivent un spectacle sous forme de signal d'alarme. A leur manière débordante de vie, de jeunesse et de bonne humeur, ils vont rejouer le geste de certains (anti-)héros solitaires qui, un jour, se sont échappés du système dans lequel ils se sentaient emprisonnés.
Sur le plateau se dégage une énergie très particulière, une alternance de force chorale et d'éruption de singularités. Une tension réjouissante, entre rigueur et chaos, gravité et fantaisie !
Prix Odéon - Télérama et Prix du public - Festival Impatience 2012, jeune création européenne.
Aidé par une belle dynamique de groupe, le Raoul Collectif pose des questions sans lourdeur, mêlant non-sens,interludes musicaux et saynètes narratives. Enfin un théâtre qui a quelque chose à dire et le dit sans élucubrations mais avec poésie
Revue Mouvement
Ce spectacle est un petit miracle. Une perle qui brusquement surgit dans notre paysage théâtral
Télérama