#JAHM LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD |
Mardi 15 mars durée : 1h30 |
crédit photo : Théâtre du Rivage
par le Théâtre du Rivage (Aquitaine)
mise en scène : Pascale Daniel-Lacombe
Distribution en cours
Scénographie : Eric CHARBEAU, Philippe CASABAN
Création sonore : Clément-Marie MATHIEU
Création lumière : Bertrand COUDERC
Assistanat lumière et régie générale : Yvan LABASSE
Responsables distribution : : Mélanie JAUNAY, Nicolas ORLANDO, Etienne KIMES
Production : La Scène nationale du Sud Aquitain, Le Moulin du Roc - Scène nationale de Niort, L'Association Nova Villa, la comédie - CDN de Reims, Itinéraire bis - St Brieuc, Le Théâtre du champ du roy - Guingamp, Le centre culturel Jacques Duhamel - Vitré, Les ATP de Dax, La ville de Dax, Le Pôle culturel du Marsan, L'Agora - Pau / Billère, Communauté de communes de l'Ernée, Le Quai des rêves - Lamballe
Soutiens à la diffusion : l'Hectare- scène conventionnée de Vendôme, Le prisme - Communauté de communes de Villaines la Juhel, Le Théâtre du Champ de Foire - Saint André de Cubzac
Partenaires institutionnels : - DRAC Aquitaine, Conseil Général Pyrénées Atlantiques, Conseil Régional Aquitaine, Conseil Général des Landes
Promise par son père à Dorante, Silvia se fait passer pour Lisette sa femme de chambre, afin de mieux observer son futur mari. Mais Dorante a de son côté la même idée. Les maîtres jouent les valets et les valets jouent les maîtres sous les yeux complices du père et du frère de Silvia.
Marivaux s'affranchit a priori des conventions sociales, avec le travestissement qu'il utilise fréquemment dans son œuvre; sauf que le masque n'est pas là pour cacher mais pour percer la vérité de l'autre.
Le Théâtre du Rivage par cette nouvelle création se détourne des textes contemporains mais pour mettre en lumière la modernité du chef d'œuvre de Marivaux : paraître et langage sont, aujourd'hui comme hier, au cœur des relations humaines.
Dans un décor à la verticalité symbolique, les maîtres n'ont pas forcément le premier rôle puisque c'est dans le sous-sol que l'intrigue se déroule, car « ; pour les suivre, il nous faut donc descendre […] là où les « ; petites gens » ; vivent et travaillent. Il nous faut descendre avec eux, puisqu'ils veulent en découdre, pour savoir ce que l'amour veut dire, pour savoir qui ils sont, ou comment ils vont se révéler » ;.
Une pièce au goût acidulé, à déguster sans modération !
La pièce sera créée en février 2016