QUATRE-VINGT-TREIZE |
Mardi 14 février durée : 1 h 30 |
crédit photo : Benjamin Yvert
de Victor Hugo
par la Compagnie In Cauda (Ile-de-France)
Adaptation et mise en scène : Godefroy Ségal
Avec Géraldine Asselin, François Delaive, Nathalie Hanrion, Alexis Perret, Boris Rehlinger
Peintures Jean-Michel Hannecart
Projection : Benjamin Yvert
Assistante à la mise en scène : Mathilde Priolet
Production : In Cauda
Avec le soutien de : Ville de Magny-les-hameaux, Communauté d’Agglomération de Saint Quentin en Yvelines, DRAC Ile de France, Lilas en scène et Jipanco.
75 tableaux de Jean-Michel Hannecart, en noir et blanc comme un vibrant écho (et hommage) aux eaux fortes de Victor Hugo, projetés sur deux écrans : ils servent d’écrin aux cinq comédiens qui racontent et jouent cet épisode de la Terreur.
1793 : la France est déchirée par les combats qui opposent les républicains aux royalistes. Hugo s’attache aux grandes figures de l’Histoire, Marat, Robespierre, Danton, et à leurs querelles. Il s’attache aussi aux autres, ceux qui s’affrontent au nom d’un idéal dans cette guerre civile, et qui doutent : le marquis de Lantenac, royaliste, son neveu Gauvain, héros révolutionnaire.
La Compagnie “In Cauda” a vocation à « travailler ardemment à la théâtralisation d’oeuvres littéraires ». Godefroy Ségal signe ici une adaptation théâtrale de cette fresque historique à la mesure de Victor Hugo. La mise en scène sert l'épopée : sons, bruitages et images nous transportent dans la campagne vendéenne, au cœur d’une bataille en mer ou sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Des héros, des lâches et même des armées entières vivent devant nous.
Un spectacle remarquable pour une œuvre exceptionnelle !
Quatre vingt – treize ou l’ardeur du théâtre. Un délicieux petit miracle de théâtre, en somme. Et pour y croire, il faut le voir.
Le Monde.fr
Un spectacle grandiose, devant lequel le public stupéfait se croit soudain projeté dans le passé, à cette effroyable époque qu’est celle de la Terreur.
La Provence