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ARLEQUIN POLI PAR L'AMOUR

Mardi 15 avril
+ scolaire : 14h30
durée : 1h10
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de Marivaux

crédit photo : Nicolas Joubard

Théâtre, guirlandes et confetti
La Piccola Familia (Pays de la Loire)
Texte : Marivaux
Mise en scène : Thomas Jolly

Avec Pierre Berthé, Rémi Dessenoix, Clémence Solignac, Romain Tamisier, Ophélie Trichard
Mise en scène et scénographie : Thomas Jolly
Assistante à la mise en scène : Charline Porrone
Création lumière : Thomas Jolly & Jean-François Lelong
Création costumes : Jane Avezou, Fabienne Rivier
Régie générale : Jean-François Lelong
Régie son & plateau : Matthieu Ponchelle et Jérôme Hardouin

Cette recréation éblouissante de la comédie de Marivaux raconte une histoire d’amour tyrannique.
 Une fée séquestre l’élu de son cœur, Arlequin, jeune homme encore benêt malheureusement épris de Silvia, une jolie bergère.
 Les amants, exposés aux plans machiavéliques de la fée férocement jalouse, revendiquent le droit d’exister.
 Leur jeunesse fougueuse, innocente et maladroite offre des scènes touchantes où Arlequin «poli » par l’amour se métamorphose.
 Sottes convenances, duperies, méchancetés s’enchaînent à un rythme effréné.
 Arlequin s’émancipe…, sa puissance nouvelle l’aveugle. Jusqu’où ira-t-il ?
 Époustouflante d’ingéniosité, la mise en scène signée Thomas Jolly, prodige du théâtre contemporain, entraîne du rire à l’effroi, multipliant les prouesses sonores et visuelles avec quelques ampoules et des guirlandes lumineuses !
 Une partition pétillante qui mêle poésie, féerie et comique dans une ambiance de fête foraine.
 Un spectacle superbe à ne pas manquer !

Un spectacle qui repose tout entier sur l’artisanat du théâtre et fait de l’énergie de la troupe son unique combustible.
Télérama
Quelques ampoules, des guirlandes lumineuses et des cotillons servent de cadre magique à cette histoire d’amour. Première mise en scène du talentueux Thomas Jolly, recréée depuis, maturée mais pas assagie, elle brille et pétille comme une fête joyeuse.
La Terrasse
Reconnaissable entre mille, l’esthétique de Thomas Jolly, très commedia dell'arte est déjà là, et bien là. Épaulé par une langue marivaudienne plus dépouillée et nerveuse qu'à l'accoutumée, il accouche d'une mise en scène énergique qui trahit son envie de faire rimer classique avec théâtre tous publics.
Les Echos