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SUR LE CœUR

Mardi 14 octobre 2025
durée : 1h25
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de Nathalie Fillion

crédit photo : Nelly Blaya

Fantasmagorie du siècle XXI
Texte et mise en scène Nathalie Fillion
Jeu : Marieva Jaime-Cortez (Iris), Rafaela Jirkovsky (Marguerite), Manon
Kneusé (Professeure Rose Spillerman), Damien Sobieraff (l’acteur qui joue tous les rôles d’hommes dont : l’Ex, Mario l’assistant, chef de la chorale del’hôpital, Rémi l’orthophoniste)
Chorégraphie : Jean-Marc Hoolbecq
Scénographie, costumes : Charlotte Villermet
Création lumière : Denis Desanglois
Création sonore, régie son et vidéo : Estelle Lembert
Création vidéo : Dimitri Klockenbring
Assistante à la mise en scène : Mélissa Irma
Enregistrement guitare : Hervé Legeay, Harpe : Laurence Bancaud
Régie générale et régie lumière : Thierry Capéran
Remerciements à Eric Berger, Jean Balladur, Charlie Nelson et Romain Tiriakian. Citations musicales, Stéfano Landi, Christophe, Velvet underground, B52’s, Nathalie Fillion.

Le texte est publié aux éditions Quatrième mur

Paris 2028.
 De nouvelles pathologies post MeToo alertent l’OMS.
Dans l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, l’unité de soin et de recherche post MeToo est dirigée par Rose Spillerman, neuropsychiatre farfelue, flanquée de Mario, son fidèle assistant.
Aujourd’hui, arrivent dans le service Marguerite et sa sœur Iris qui, depuis six mois, n’a pas prononcé un seul mot.
Pourquoi ?
 Retrouvera-t-elle la parole ?
 Le service sous tension (« On recrute, on recrute ! ») s’emploie à trouver les remèdes et à résoudre l’énigme.
 Alors, la chambre d’hôpital va devenir le lieu de toutes les fictions, toutes les fantasmagories.
Sur le cœur nous embarque dans une fantaisie poético-hospitalière tendre, drôle, intelligente et impertinente.
 On y chante, on y danse, on y pense, et c’est excellentissime !
 

Loin d’être clinique, sans être grinçante, grâce à une musicalité travaillée par touches discrètes et ciselées, une écriture puissante emplie d’humour, ainsi qu’un rythme chorégraphique appuyé, Nathalie Fillion parvient à nous faire rire du désastre et invite à la joie malgré tout.
Scèneweb.fr
Une pochade joyeuse et très enlevée, on rit de bon cœur, les comédiens sont au diapason et le tempo ne faiblit jamais.
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